La dernière version du texte prévoit notamment que
« l'entreprise, en  concertation avec les salariés ou leurs représentants, procédera à  l'examen des situations de harcèlement et de violence au travail lorsque  de telles situations sont constatées, y compris au regard de l'ensemble  des éléments de l'environnement de travail : comportements individuels,  modes de management, relations avec la clientèle, mode de  fonctionnement de l'entreprise… »
Bernard Salengro de la CFE-CGC parle d'un « niveau d'équilibre intéressant  pour les salariés », et présentera le texte « positivement » à ses  instances. « Le texte affirme qu'il existe des situations où la violence  émerge plus facilement. Même si on n'utilise pas l'expression  'organisation du travail', on en tient compte, et c'est fondamental. »
 
 
 
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